Charlot, jamás será vencido.
Eh, les loups et autres blaireaux, illuminés de fachos
Abreuvés de religions ou de coutumes à en devenir drogué-alcolo
Vous pouvez vociférez bien haut
Nous violenter et montrer vos pectoraux
Trancher nos idéaux avec vos couteaux
Bruler nos livres et nos multiples drapeaux
Tuer des otages ou des innocents en frétillant vos abdominaux
Rien n’arrêtera, nos expressions par des photos.
Vous accepter et même oser approuver de facto
Par des images violentes en video,
Toutes les barbaries sans lâcher un mot.
Goutant la volupté paradisiaque de vos actes comme un sublime expresso.
Vous êtes des créatures abjectes, des êtres immoraux
Vous prenez les femmes pour des veaux
Pour disposer d’elles avec votre petit morceau.
Pour vous l’éducation c’est du pipeau
Vous dressez la personne et la femme au cordeau
Pour les cacher derrière un voile ou un rideau.
Ou par tous moyens, les mettre et les cacher sous le boisseau
En érigeant leur don de virginité comme un suprême cadeau
A la lueur des draps blancs nappés du rouge sacré en crédo
Les affubler de tous vos préceptes de vrai macho
Jusqu’à les exciser pour expurger toute idée de libido
Les vendre, les acheter en esclaves ou les exploiter au boulot.
Vous érigez vos principes en fondamentaux
Alors que vous n’êtes que des bourreaux
En essayant de tuer Malala, une fille –Nobel sans susurrer un mot.
Et Sohane et tant d’autres, brûlées, lapidées, fouettées, séquestrées, incognito
De toute culture, du jaune au blanc, rouge ou noir de peau
Les couleurs se mélangent en métissé sous les draps et les manteaux
En écharpe génomique arc en ciel pour engendrer un monde plus chaud
Vous vous dites croyants sous le chapeau
Prouvez-le bande d’ingénieux simplets, triple salauds.
Respecter au moins la vie de toute personne, comme il faut
Simplement en priant votre très-haut pour ce que vous qualifier d’acte faux,
Accordez pardon, devenez humble, sage, libre, un simple homo-dignito
Alors, toutes les croyances seront peut-être, un jour, reconnues sanctissimo
Jusqu’à présent sur cette terre, même promise, c’est loin d’être banco
Prenez exemple sur Lassana, qui sans se faire prier, sans réfléchir, sans sursaut
A élevé sa dignité religieuse en synthèse harmonique peuplée de différents trémolos.
Ses actes sont simples, sont sublimes, sont suprêmes, sont beaux
Tôt ou tard, vous verrez, ce que vous appelez insulter le très haut
Est une blague, une caricature, à côté de vos horribles crimes de fachos.
Pour tous vos actes, vous êtes aux yeux des peuples redevables de mise au cachot,
Pas de mise à mort, ce sort ne fait pas partie de notre vibrato.
Eh, oui ! Être un citoyen universel à pleine peau
Etre, érectus, vagino, masculo, fémino nimbus, lesbo-homo
Çà s’apprend sur les bancs de la vie, face au grand tableau.
Et vous criez à mort, pour des symboles dessinés au pinceau !
Qui êtes, vous ? Des humains ou des animaux ?
Entendez bien, vous, loups, blaireaux ou autres corbeaux!
Par tous les mondes ou par les coteaux
Les colibris, colombes et autres oiseaux
Viendront éteindre, goutte d’eau par goutte d’eau
Vos vengeances intérieures et vos envies de brûlot.
Quand la culture reçoit un couteau dans le dos.
Des mains aciérées des fachos
On se retourne pour faire face avec nos idéaux.
Tu vois mon nez rouge, espèce d'idiot.
Si tu n'as rien dans le cerveau.
Respire, sent, écoute, regarde, goûte, apprend ce mot
Par tous les pores de ta peau.
Écris-le même, dessine-le avec un stylo.
Tu peux aussi, le jouer sur un piano
Sur des airs bellissimo
El pueblo unido jamás será vencido.
Du vol des ballons ou des oiseaux,
Allégé de tes multiples oripeaux
Allonge-toi au bord de l’eau,
Bien couché, sur le dos
Avec dans la bouche, un coquelicot.
En reniflant l'air des roseaux
Tu découvriras que la vie vaut d'être CHARLOT.
La liberté,
C'est la culture avec ce qu'elle a de plus beau
Qui s’étend par monts et par vaux
Voila pour toi, ce texte Charlie Hebdo.
Quand la culture reçoit un couteau dans le dos.
Des mains trempées des fachos
On se retourne pour faire face avec nos idéaux.
Tu vois mon nez rouge, espèce d'idiot.
Si tu n'as rien dans le cerveau.
Respire, sent, écoute, regarde, goûte, apprend ce mot
Par tous les pores de ta peau.
Écris-le même, dessine-le avec un stylo.
Tu peux aussi, le jouer sur un piano
Sur des airs bellissimo
El pueblo unido jamás será vencido.
Du vol des ballons ou des oiseaux
démuni de tes multiples oripeaux
Allonge-toi au bord de l’eau,
Bien couché, sur le dos
Avec dans la bouche, un coquelicot.
En reniflant l'air des roseaux
Tu découvriras que la vie vaut d'être CHARLOT.
La liberté,
C'est la culture avec ce qu'elle a de plus beau
De la pierre et de l'eau
as-tu ce qu'il te faut
pour libérer cet ion o
nécessaire à la bio
de millénaires mégalithiques
en symbiose microbiotique
la vie cellulosique
s'est muée en organique
de cet humus colloïdale
mélangé à l'argile
la nature de façon banale
s'est construite fragile
de la photosynthèse
en passant par l'ovogénèse
et la spermatogénèse
l'être humain à pris son aise
maitre à penser
il se permet d'organiser
alors qu'il n'est sur l'échiquier
qu'un maillon des hominidés
de nature et mégalithes
en passant par le naturel
sa connaissance cosmique
a permis l'avènement de l'universel
A St just terre de pierre
loic homme d'esprit
a compris l'alliance humifère
pour développer une autre économie
Du chomage innovant
en passant par dégats et defis
l'art d'être vivant
dépend surtout de ce que l'on fait de sa vie.
A mon Ami loïc et toute l'équipe du CPIE nature et mégalithes